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4févr. 2018 - C'est dans le calme et la confiance que sera ta force et non dans l'agitation. Fais confiance à Dieu, il te surprendra ! 4 févr. 2018 - C'est dans le calme et la confiance que sera ta force et non dans l'agitation. Fais confiance à Dieu, il te surprendra ! Pinterest . Aujourd'hui. Explorer. Lorsque les résultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flèches
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Site De Rencontre Amoureuse Gratuit Sans Inscription. Les 4 clefs de la vie retour et repos, calme et confiance Ésaïe 308-18 écouter l'enregistrement - voir la vidéo ci-dessous Culte du dimanche 29 janvier 2017 prédication du pasteur Marc Pernot Pour ce dimanche, je vous propose d’ouvrir notre Bible au livre du prophète Ésaïe pour y trouver un petit bijou de théologie et de sagesse. Dans la Bible, il arrive qu’un auteur cherche à condenser en une phrase ce qui lui semble être le plus fondamental dans la vie. C’est ce que nous avons ici dans le livre d’Ésaïe. Ainsi a parlé le Seigneur, l'Éternel, le Saint d'Israël C'est dans le retour et le repos qu’est votre salut, C'est dans le calme et la confiance qu’est votre force. »3015 Ésaïe insiste lourdement sur l’importance à ces yeux de cette phrase c’est Dieu, avec tous ses titres qui en est l’origine, et l’enjeu n’est rien de moins que les clefs du salut et de la force ! Cela tient en quatre mots être dans le retour, dans le repos, dans le calme et dans la confiance. Ésaïe est sympa, c’est tout simple et doux. Ça donne envie d’essayer, de se poser, de méditer. De chercher à nous calmer, de reprendre confiance. Les 4 clefs qu’ils nous donne pour vivre sont simples et vraies, transmises de génération en génération. Une sagesse en 4 mots Ce qui saute aux yeux dans ce beau passage, c’est d’abord une sagesse, avec cette invitation au calme et à la sérénité face aux difficultés de l’existence. Cette sagesse rejoint celle des stoïciens, ou plus exactement la précède puisque Zénon commence à enseigner 400 ans après ce texte d’Ésaïe. Il y a dans cette sagesse quelque chose d’universel et de salutaire. Face aux difficultés, nous pouvons être parfois comme une personne tombée à l’eau et qui panique, se noyant dans son agitation alors qu’il suffirait de s’allonger sur le dos bien à plat sur l’eau pour flotter et se reposer. Le retour » évoqué en premier peut alors signifier un retour vers l’essentiel, vers le fondamental, retour vers ce qui est une source de mieux. Il est vrai que le terme même de retour » dans le texte biblique évoque ce que l’on traduit parfois par la conversion », le retour de la foi, nous y viendrons tout à l’heure, mais ce n’est pas spécifié ici, alors qu’il aurait été facile de mettre C'est dans la conversion à Dieu et le repos en lui qu’est votre salut, c'est dans le calme et la foi en l’Éternel qu’est votre force. » Mais non. Ésaïe est plus large que cela. C’est dans le retour et le repos qu’est votre salut ». Retour vers quoi ? Et en quoi m’étais-je éloigné, dispersé ? Bonnes questions que nous invite à nous poser Ésaïe. La question n’est pas seulement spirituelle, elle est aussi à vivre avec lucidité en ce qui concerne nos préoccupations, notre façon de vivre, nos agendas, notre budget, nos paroles et nos actes. Des questions très pratiques que nous aimerions peut-être éviter. Ésaïe nous prépare à ce questionnement en nous mettant en garde contre ce penchant très naturel, il relève que les fidèles demandent à leurs prophètes Dites-nous des choses flatteuses, Ayez des visions chimériques ! » et que surtout la présence de Dieu ne se mette pas en travers de notre façon de vivre Ésaïe 3011. Dans un sens, on comprend les paroissiens d’Ésaïe, c’est tellement plus simple de vivre dans la théologie abstraite, dans la philosophie spéculative, dans la politique politicienne, dans les idéaux fumeux, dans la religion religieuse. Que ces rêves nous bercent et ne viennent pas en travers de notre chemin de vie, n’interrogent pas nos actes, nos compromissions, nos illusions. Et pourtant, là est le salut. Qu’est-ce qui en moi s’est détourné ? Pour répondre à cette question, je suis amené à chercher quel est le cœur de mon moi, quel est l’essentiel de l’essentiel. Peut-être qu’en me posant cette question je serai amené à creuser la question de la source et de l’ultime, la question de la transcendance et de Dieu ? Mais de toute façon, que ce soit d’abord ou après, il faudra bien un jour faire le lien avec mon monde, et donc m’interroger sur ce qui en moi s’est perdu loin du cœur de mon être. Avez-vous déjà vu un chien de berger veiller sur son troupeau de mouton, dans l’alpage ? Il cherche un point d’où il voit l’ensemble, il veille et quand il le faut il court rassembler les brebis qui s’éloignent. Comme lui, nous pouvons faire le tour des éléments de ne notre vie et ramener les égarés. Mais pour ramener au cœur, il faudra bien se demander quel est l’essentiel de l’essentiel dans notre vie ? Tant de choses nous semblent indispensables de notre point de vue présent. Sans doute tant de choses paraissaient aussi indispensables à une famille juive en 1930 ou dans la Syrie d’il y a 10 ans... Qu’emporterions nous dans une seule petite valise que nous pouvons sauver ? Que garderions nous dans notre espérance, dans notre cœur et nos pensées dans notre prière ? Comme mémoire chérie si tout nous était ôté ? Tant de chose nous paraissaient importantes, très trèèèès importantes avant que le résultat d’un bilan de santé nous inquiète pour notre vie ou celle d’une personne que l’on aime ? La couleur du papier peint ? L’injure du collègue, le mépris du patron, l’ambition d’un autre, le voisin mal luné ? La carrosserie de notre voiture ? Comment saisir, comme nous y invite ici Ésaïe, ce qui fait le cœur du cœur de notre être, de notre vie, de notre espérance, de notre bonheur ? Chercher quel est ce cœur du cœur. Y retourner. Regarder son agenda. Comment est-ce que, concrètement, j’affecte les 24h/jour de mon temps ? Analyser vraiment ce qui a mobilisé ma préoccupation dans la journée, est-ce que vraiment c’était important, indispensable à mon bonheur, à ma vie ? En même temps, cette recherche de revenir à l’essentiel ne doit pas être frénétique, au contraire, Ésaïe nous indique qu’elle peut, qu’elle doit se faire dans le calme, la sérénité, la confiance. Je ne pense donc pas que cette recherche nous invite à se dépouiller de ce qui n’est pas l’ultime nécessaire. Pourquoi pas si c’est le chemin de quelqu’un, mais en général non. Un centre est beau quand il est le centre de quelque chose. La question me semble de bien distinguer l’essentiel du secondaire pour nous. Pour un autre il en serait peut-être autrement, demain, nous évoluerons peut-être, mais aujourd’hui et pour moi, où est l’essentiel. Ensuite, faire que ce qui n’est pas essentiel soit vraiment secondaire pour nous. Aussi bien dans nos buts que dans nos moyens. Concernant nos buts, nous sommes professionnels des rêves chimériques, nous dit Ésaïe, dans les moyens qui nous semblent justes nous avons aussi à faire du tri. Trop souvent, nous dit-il, c’est à la violence et les détours que nous faisons confiance, nous cherchons le salut dans les coups tordus Ésaïe 3012 et dans la fuite Ésaïe 3016. Ce n’est pas un bon plan, nous dit Ésaïe. Ce n’est pas que Dieu nous en voudrait ce n’est pas son genre mais c’est que cette façon d’être n’est pas sage. C’est comme si on construisait tout de travers une muraille sur laquelle on compte pour nous protéger, cela va nous retomber dessus. C’est juste de la physique élémentaire. Ne pensez-vous pas que cette sagesse d’Ésaïe participe à notre salut ? Nous sommes tous égaux devant ce travail à faire, croyants et athées. Une éthique en quatre mots Mais à y regarder de plus près, ce n’est pas seulement une sagesse qu’Ésaïe nous appelle à chercher dans ces quatre gestes. Ésaïe nous invite aussi à une éthique. En effet, un au moins de ces quatre mots invite à l’action, le 3e traduit par le calme » est en réalité un verbe qui est à un mode hébreu, le hiphil, qui est un factitif et devrait donc être traduit par faire le calme ». C’est tout le contraire de la violence, des coups tordus ou la fuite, mais être, comme Jésus nous y invite, des artisans de paix » Matthieu 59. Et cela aussi est une sagesse. Nous ne sommes un animal social. Nul salut, nulle force possible sans les autres et encore moins contre les autres. L’image du mur donnée par Ésaïe prend son sens, pas seulement pour notre existence individuelle bien construite sur de bonnes bases, mais à travers la construction de bon liens entre nous. Sans fissures laissées par les personnes manquantes, sans porte-à -faux créés par les coups tordus. Ces quatre clefs d’Ésaïe sont donc à entendre aussi comme une éthique, et pas seulement le 3e verbe. Revenir les uns vers les autres, veiller et nous aider mutuellement à ne pas nous perdre, être source de repos pour celui qui est éprouvé et artisan de paix entre nous, bâtir des liens de confiance. Une foi en quatre mots Mais même si Ésaïe laisse en blanc ce vers quoi nous pouvons retourner pour être sauvé et en quoi nous pouvons faire confiance pour avoir de la force, ce silence est assourdissant dans ce contexte. C’est évidemment à la foi qu’il nous appelle, et c’est donc sans surprise que cette prédication d’Ésaïe arrive à cette promesse l'Éternel est un Dieu juste Heureux tous ceux qui espèrent en lui ! » Ésaïe 3018 Bien sûr qu’il faut un retour sur l’essentiel, mais quoi de plus essentiel que la source de l’essentiel ? Ésaïe nous propose donc quatre gestes fondamentaux, quatre états d’esprit être dans le retour et le repos, faire le calme et être dans la confiance. Les deux premiers apportent le salut, la vie plus profonde, plus vivante que tout ce qui peut arriver. Ésaïe associe deux gestes, l’un dynamique retourner à Dieu et l’autre statique reposer, calme et tranquille. C’est un temps purement spirituel, c’est un temps de shabbat où on ne crée rien si ce n’est ce lien qui peut s’établir entre Dieu et nous. Lien dont Dieu a l’initiative en se tournant vers nous, et nous appelant. Établir ce lien, rien de plus. La confiance viendra peut-être après, elle est une force mais le salut est simplement dans ce oui qui accepte d’écouter ce que Dieu dit. Peut-être pour le discuter et le refuser après, mais au moins se tourner pour regarder et écouter sans rien faire d’autre. Pour l’instant, s’étendre là et rester un peu, essayer de faire silence devant cette source, cette présence d’un autre ordre. Le salut est là , simplement là . Il frappe à la porte, celui qui entend et qui l’ouvre le reçoit, et il nous invite à partager tranquillement le pique-nique qu’il a apporté Apocalypse 320. Après le salut vient le secret de la force. On s’attend à un super héros gonflé de puissance divine ? Et c’est bien cela, mais cette force est d’être dans l’action pour faire le calme, en nous, entre nous et avec Dieu. Et cette force est dans la confiance. Là encore l’objet de cette confiance est ici d’abord la confiance en Dieu. Bien sûr. Mais pas seulement car sinon ce serait dit. Une confiance en Dieu qui nourrit une confiance en nous-mêmes et une confiance dans les autres, dans ce corps que nous formons ensemble. Confiance qui elle aussi doit être soumise à ce processus de salut évoqué en premier, passée au creuset pour écarter les scories et garder le meilleur, garder l’essentiel. Même dans notre confiance en Dieu, qui n’a pas à être aveugle non plus, elle est une interaction avec ce que nous sommes et ce que nous aimons. Une théologie en quatre mots Mais si le salut et la force sont dans ces 4 attitudes, Ésaïe nous offre aussi une théologie, car par définition, Dieu est salut et force. Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel, le Saint d'Israël » nous dit Ésaïe 3015 Ainsi parle », c’est le célèbre coh amar » hébreu qui signifie ainsi parle », c’est l’acte du Dieu créateur qui travaille à mettre en ordre le chaos, ce ainsi parle... » est comme un début de genèse, une mise en lumière par ci et du plus vivant par là . Ce ainsi parle », c’est le Dieu qui participe à ce retour, cette conversion à laquelle il nous invite. Ainsi parle le Seigneur ». Ce seigneur, c’est Adonaï », il est la stabilité. L’Éternel », c’est le Dieu de tendresse et de pardon, celui qui fait la paix par l’amour, qui calme par son pardon. Le Saint d’Israël » est celui qui a scellé une alliance avec nous et qui ne s’en dédiera pas, celui qui travaille avec nous et pour nous, celui qui fait de l’humanité un peuple. Ce Dieu que nous décrit Ésaïe, il sauve par sa force créatrice inlassable, et sa force est dans sa tendresse et sa fidélité. Quelle façon d’être ! Contemplons le. Prenons-en de la graine. Calme et tranquille. Amen Vous pouvez réagir par mail... faites profiter les autres de vos propres réflexions…
La prétention et la confiance en soi. Deux choses bien distinctes et pourtant, elles sont immensément confondues. Et l’analyse des deux met en lumière des choses pas très évidentes à affronter, mais il est pourtant nécessaire de le faire pour notre avancée. La prétention Définition. La prétention. Il nous est tous arrivé d’en faire la démonstration. Elle fait partie des sentiments humains classiques. Cependant, ceux qui sont accusés d’en faire usage ne sont, en réalité, pas tous des prétentieux, loin de là . Qu’est-ce que la prétention ? Notre ami Larousse dit Attitude de quelqu’un fondée sur une opinion trop avantageuse qu’il a de lui-même Il a répondu sur un ton plein de prétention .Concernant le prétentieux Qui estime, par vanité, avoir une certaine supériorité, qui cherche à se mettre en valeur pour des qualités qu’il n’a pas . La confiance en soi Définition. Puisque le Larousse ne donne pas la définition de la confiance en soi, permettez-moi de vous en donner une, que vous pouvez bien entendu vérifier. Il s’agit simplement, tout d’abord, de se connaître, ce qui n’est pas, contrairement aux idées reçues, une mince affaire. Il s’agit de croire en soi, en son potentiel, en ses capacités, qu’elles quelles soient sa capacité d’apprendre, de comprendre, d’appliquer, son potentiel de réussite. Il ne s’agit pas ici de se voir avec exagération. Le fait, de justement se connaître, après avoir fait bien entendu, une analyse réellement objective de soi, empêche ce penchant, de déborder. Quelques explications avant d’aller plus loin Il est bien plus ardu d’avoir confiance en soi, que d’être prétentieux. La prétention, c’est immensément facile. Elle n’est au final qu’un mensonge qu’on raconte aux autres, mais surtout à soi, en s’enveloppant dedans comme dans un plaid bien chaud un soir d’hiver. Au point d’en devenir agressif. Méchant, odieux. On y est bien à l’abri, dans ce plaid, à l’abri d’un froid qu’on s’imagine découvrir si on l’enlève. Alors qu’une analyse objective de soi, ce travail parfois si long et si douloureux, permet en réalité de ne plus jamais avoir besoin de s’envelopper dans un mensonge à l’apparence douce, mais au final dévastateur, puisque jamais on ne part à la rencontre de soi, ni ne se trouve. La confiance en soi n’arrivera donc jamais. La prétention Un manque potentiel de confiance en soi. La prétention, est selon moi, un signe assez clair de manque de confiance en soi. Si la dévalorisation, donc le fait de ne pas oser faire quoi que ce soit par peur du rejet, du jugement des autres et qu’au final, s’aplatir sans jamais ouvrir la bouche trop fort est une conséquence, un symptôme de l’absence de confiance en soi, la survalorisation, la prétention, son contraire, l’est aussi. Lorsqu’on a confiance en soi, on ne se dévalorise certes pas, mais on ne ressent pas non plus le besoin de se survaloriser, que ce soit au mépris des autres ou non. La confiance en soi, c’est la conscience de son être de façon objective et son acceptation. La conscience de ce que sont les choses et leur acceptation. C’est le calme de l’esprit. De l’estime de soi, découle la confiance en soi. L’estime de soi prend parfois quelques claques en cas d’échecs. Cependant, la conscience de ce qu’est l’échec de façon véritable, et donc si une réflexion est faite sur le sujet, laissera l’échec à sa vraie place Une chute, mais en aucun cas la fin de tout, si on se relève et apprend de ladite chute. La confiance en soi n’en sera donc pas affectée. L’excès de confiance en soi, est aussi un problème. Car là , on passe à un autre stade. On touche à la fameuse prétention, qui elle, est un déséquilibre. Si la confiance en soi est la conscience de soi et uniquement ça, un déséquilibre peut donc finir par tout briser. Il est donc important de faire une analyse objective de soi, et de ne pas se laisser déborder. Et si on passait à la démonstration ? Maintenant que les deux définitions sont données, je vais en venir à cette confusion mentionnée plus haut Accuser, à tort, une personne de prétention. Mes petits personnages sont avec moi. Je vais prendre le sujet qui me touche le plus La culture. Roger lit beaucoup. Il aime la culture, s’intéresse à tout et est heureux, à éveiller sans cesse son esprit. Par voie de conséquences, Roger accumule des connaissances. Et lors de conversations, de façon tout à fait naturelle, il va en faire usage. Marcel lui, pense que puisque la télé est là , ma foi, à quoi bon lire des livres. Il n’est pas très courageux. Les efforts, c’est pas son qu’il est chiant et prétentieux ce Roger, à étaler sa science. Faut toujours qu’il ramène des mots à rallonge, qu’on ne comprend pas. Faut toujours qu’il rabaisse tout le monde, à dire qu’il sait des choses, comme si on était des gamins attardés. Roger n’est pas prétentieux. Il est juste cultivé et à confiance en lui. Il est à l’aise avec son savoir et sa réussite, qu’il sait mériter, sans exagération. C’est une simple conscience des choses. Il sait les efforts qu’il fournit pour devenir meilleur, pour nourrir son esprit, essayer de trouver des réponses à toutes ces questions qu’ils se pose, sur l’existence, ou sur le reste. Il lit, travaille, réfléchit, cherche, comprend, expérimente, qui lui est un partisan du moindre effort, va trouver simplement préférable, et surtout bien plus simple, facile, de le dénigrer, de balancer que c’est un prétentieux, que d’admettre que sa culture n’égale pas celle de Roger, et qu’il n’a, en réalité, pas la moindre intention d’arranger les choses. La confusion entre prétention et confiance en soi. Taxer quelqu’un de cultivé ou qui réussit, de prétention, est très courant. Parce qu’il est justement immensément répandu, banal, de ne faire aucun distinguo entre la vraie prétention, et la simple confiance en soi, qui elle, n’a rien de mauvais, mais est au contraire très saine, lorsqu’elle est sont pourtant deux choses qui n’ont absolument pas de raisons d’être confondues, puisqu’elles ne sont pas la même la mauvaise foi les a réunis à un point tel, que la différence ne se voit plus. Quelqu’un de cultivé, qui va partager son savoir, qui va avoir confiance en lui sera souvent accusé de prétention. Et à côté, on dit aux gens, il faut avoir confiance en toi », mais on ne manquera pas de l’accuser de prétention lorsqu’il se sentira un peu mieux et commencera à s’affirmer. La réflexion, qui permet d’en finir avec la confusion et le rejet. La réflexion, permet là encore, de faire ce distinguo, et de cesser donc de voir de travers, et même de maltraiter des gens qui ne font rien de mal. Peu importe les raisons qui font qu’ils ont confiance en eux, que ce soit des gens bien ou non, qu’on les aime ou non. Il ne s’agit pas de prétention, il y a une vraie différence, point. Ne pas aimer quelqu’un n’est pas une raison valable pour lui retirer ce qu’il est et le dénigrer bêtement. L’amour de la culture, la connaissance, le savoir ne devraient pas être vues comme des moyens d’écraser les autres. Les choses vont très loin, car il est même devenu courant, aujourd’hui, d’insulter les gens cultivés. Intello », c’est aujourd’hui une insulte dans la bouche de beaucoup. Tout ça devrait pourtant être vu comme des opportunités, des chances formidables. Il est en réalité, exceptionnel que nous ayons accès à tout ça. Nous sommes, sur Terre, les seuls animaux à avoir la chance de pouvoir profiter de ça. Et c’est vu comme quelque chose d’ennuyeux. De chiant. Une arme. S’en est une, d’ailleurs. La culture est pour moi une arme de construction contre la destruction. Bien sûr on l’utilise à mauvais escient car c’est quelque chose de tout à fait faisable, comme toute arme, elle peut servir à sauver comme à tuer. Mais j’aime la voir comme étant merveilleusement positive, parce qu’elle l’est. Les gens ne peuvent pas, sous prétexte de manque de courage ou d’intérêt, accuser quelqu’un d’être ce qu’il n’est pas, alors que le problème vient d’eux. Et qu’il soit assumé ou non n’est en rien le problème des autres, c’est le leur. Je suis lucide, le dire ici et ailleurs n’empêchera personne de continuer d’accuser à tort un être confiant en lui même de prétention. Mais si ma petite goutte dans ce vaste océan peut permettre à quelques uns de comprendre ce distinguo, alors ça en valait la peine. Je suis sûre que des gens sont capables de comprendre et c’est à eux que je m’adresse. Une compréhension quelque part vaut mieux que pas du tout. Ce distinguo n’est pas fait, soit parce que c’est bien plus doux à vivre de façon tout à fait volontaire et assez détestable je ne sais pas et je veux pas savoir de toute façon c’est un con, emballé c’est pesé, soit parce que les choses n’ont pas été assez creusées, sans forcément l’avoir fait exprès. Car il ne faut, selon moi, pas forcément accuser non plus tout le monde d’être un méchant qui ne veut pas réfléchir. Chaque chose en son temps. Certaines réflexions se font parfois sur le tard, pour X ou Y raisons. Si nous comprenions tous tout en même temps ce serait magique, mais la vie n’est pas faite ainsi. Elle est un long chemin, chaque personne le parcourt de façon différente. Il y a ceux qui réfléchissent, et ceux qui ne le font jamais. Pour des raisons distinctes. Concernant ce sujet, mon article sur l’évolution spirituelle pourrait vous intéresser. Pour finir…. Mon but ici, était simplement d’expliquer la différence entre un prétentieux et quelqu’un de confiant en lui même. Et que réfléchir, se remettre en question, permet de stopper ces accusations personne ne devrait jamais avoir à souffrir de son amour de la culture, de sa réussite méritée, ni de vouloir le partager. si vous tombez sur un vrai prétentieux qui ne veut rien entendre, qu’il soit cultivé ou non car les deux ne sont pas incompatibles ma foi, dites vous que c’est bien dommage pour lui de ne pas arriver à dépasser ça, souhaitez lui d’y parvenir et passez à autre chose. Passez à autre chose parce que je vais vous dire quelque chose que je dis toujours, et depuis de nombreuses années La mauvaise foi est le pire des remparts. Celui là , vous ne le passerez ne vous ruinez pas, ça n’en vaut pas la peine. Vous serez juste usé jusqu’à la corde pour un résultat inexistant, si ce n’est la perte de vos nerfs et de votre moral. Ayez conscience d’un fait sûr, vous croiserez d’autres gens comme vous sur votre route, qui voudront savoir et partager comme vous, et qui eux, ne feront qu’avoir simplement confiance en eux.
23 février 2016 2 23 /02 /février /2016 1102 Plan De Lecture Quotidienne Actes 7/1-29 ; Exode 13 à 14/4 ; Psaumes 47,48Texte BibliqueEsaïe 30/15" Car ainsi &a parlé le Seigneur, l’Éternel,le saint d'Israël. C'est dans la tranquillité et le repos que sera votre salut. C'est dans le calme et la confiance que sera votre force. Mais vous ne l'avez pas voulu ! "Que peut-on faire dans la précipitation, sous le coup de l'émotion ou lorsque nous suivons l'obstination de notre cœur Esaïe 30/1-2 sinon des actes et des paroles qui pourront être lourds de conséquences et que nous regretterons plus tard ? La peur, le stress, la colère nous emportent dans des tourbillons dévastateurs. Notre force n'est alors que faiblesse. A contrario, devant des situations difficiles, le calme permet de faire face, de prendre les mesures qui s'imposent et il est bon de noter que la maîtrise de soi est comptée parmi le fruit de l'Esprit . Galates 5/22-23. Face aux armées du roi de Syrie et du roi d'Israël qui se mettaient en marche contre Achaz, roi de Juda, Dieu dira à ce dernier tout en l'assurant de son soutien " Et il lui dit Sois tranquille, ne crains rien. Et que ton coeur ne s'alarme pas . Devant ces deux bouts de tisons fumants. Devant la colère de Restin et de la Syrie, et du fils de Remalia " Esaïe 7/4. Le calme et la confiance se rencontrent et s'embrassent. L'esprit demeure tranquille en raison d'une pleine assurance que l'on appel la loi. Le doute ne produit qu'agitations Jacques 1/6. Quiconque se décide pour Dieu et se confie en lui est assuré de la paix divine " A celui qui est ferme dans ses sentiments. Tu assures la paix, la paix, parce qu'il se confie en toi " Esaïe 26/3.Au cœur des différents cataclysmes qui le touchèrent, Job disait " Je n'ai ni tranquillité,ni paix, ni repos, et le trouble s'est emparé de moi " Job 3/26. Cependant , il garda une ferme assurance " Mais je sais que mon Rédempteur est vivant , et qu'il se lèvera le dernier sur la terre " Job 19/25 et Dieu, dans sa bonté, le roi David avait choisi l’Éternel pour berger Psaume 23 et ne laissait pas l'agitation prendre corps en lui " Loin de là , j'ai l'âme calme et tranquille, Comme un enfant sevré qui est auprès de sa mère; j'ai l'âme comme un enfant sevré " Psaume 131/2. Et si nous prenions le même chemin ? Published by ChatelGuyon - dans texte biblique
Vivre dans le calme et la confiance Faites le pointVous arrive t-il d'avoir des pensées négatives qui tournent en boucle dans votre tête, de douter de votre valeur et des choix à faire ? Eprouvez-vous des craintes et des angoisses récurrentes ? Reportez-vous sans cesse vos projets ou restez-vous bloquée à tous les niveaux ?, Vous sentez-vous souvent coupable ou vous dévalorisez-vous ? Etes-vous peut-être dans l’auto-sabotage ou avez-vous souvent l'impression que Dieu est lointain ?Si vous vous reconnaissez dans au moins deux de ces symptômes, cette promesse est alors pour vous C'est dans le calme et la confiance que sera votre force » Esaïe psalmiste s’est lui aussi trouvé dans une telle situation. Il dira "Pourquoi t'abats-tu, mon âme, et gémis-tu au dedans de moi ?" Psaume priorité, selon Dieu, est d'entrer dans le calme et la confiance. Concrètement, qu’est-ce que le calme et qu’est-ce que la confiance ?Le calme se définit par une absence d’agitation, de nervosité. Il s’apparente à une tranquillité, une maîtrise de soi et une paix de l’esprit. La confiance est un sentiment de sécurité que l’on a vis à vis de quelque chose ou de quelqu’ assemblant ces deux définitions, nous obtenons un cocktail extraordinaire Tranquillité, maîtrise de soi, paix de l'esprit, sentiment de sécurité, confiance en soi, capacité d'entreprendre et de supporter l' pourquoi le Seigneur allie ces deux qualités calme et confiance. Il nous indique clairement le moyen de reprendre le dessus lorsque nous perdons calme et la confiance font appel à notre ressenti, notre attitude, notre for intérieur, notre perception de la réalité qui nous entoure. C’est à nous qu’il appartient de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour favoriser le calme et la confiance au quotidien. Cela implique aussi notre capacité et notre volonté à nous remettre entre les mains de Celui qui contrôle toute chose. Choisissons sciemment d’entrer dans le calme et la confiance. Ainsi nous serons “forts” pour faire face aux défis qui se présentent dans notre vie.
© Photo Leio McLaren Nous sommes dans une société où tout le monde veut avoir confiance en soi. On aimerait avoir ou acheter cette confiance comme une baguette de pain à la Boulangerie du Bonheur en bas de la rue ! Mais la confiance vient en faisant… il faut avancer, essayer, tomber, se relever, se tromper, réessayer, encore et encore et encore… Donc oui, il va falloir tomber, oser, tomber encore et affronter le regard des autres et le sien parfois tellement plus accusateur. La chute n’est pas un échec. L’échec c’est de rester là où on est tombé. » – Socrate C’est dans le regard de ces autres que l’on cherche la valorisation et la reconnaissance extérieure. C’est dommage car si elle ne vient pas, nous risquons sentir une baisse de confiance envers nos capacités et nous-même. L’objectif est donc de travailler son regard sur soi-même ! Aujourd’hui je vous propose quatre moyens simples pour booster votre confiance en vous. Je vous en parle avec un angle plutôt travail » mais vous pouvez le faire pour tous les domaines de vie famille, amour, santé, etc. Ces exercices vous rendront autonome » dans votre capacité à être fière de vous et d’avoir confiance. Ça va beaucoup vous aider, surtout dans un environnement où vous avez beaucoup de pression et de critiques. 1. Ecouter de la musique qui stimule C’est un exercice simple et pourtant on ne pense pas assez à ajuster nos sens et l’énergie de notre corps à nos objectifs intellectuels. Vous devez finir cette présentation pour dans deux heures ? Il vous faut être efficace et inspirée. Ce ne sera pas la même musique que si vous avez besoin de faire votre comptabilité ou écrire un article sur votre dernier surf trip. Je vous conseille donc de créer des playlists par besoin concentration, inspiration, motivation, calme, etc. Personnellement, je choisis une seule chanson que je passe en boucle et ça me met dans un genre de transe. Mon autre option est de mettre les bruits de la nature, pour le calme j’en parlais ici ou de la musique classique. 2. La pose de la Super Woman ! Il a été prouvé que le corps permet de renforcer la confiance. La musique quant à elle, n’est que le premier pas émotionnel pour faire le lien. Alors, avant de vous lancer dans une tâche ou avant un rendez-vous important, prenez la pose ! Je sais, ça peut paraître trop beau pour être vrai mais faites-le pendant un mois et vous verrez la différence au bout d’un mois. Comme disent les américains Fake it till you make it! » Il y a deux poses vraiment efficaces que vous pouvez faire au bureau ou cachée dans les toilettes si vous préférez ou que vous n’assumez pas Écartez les jambes à largeur du bassin plus levez les bras en l’air en respirant profondément. Écartez les jambes à largeur du bassin, les deux poings sur les hanches, en mode Super-Héroïne. © Photo Brooke Cagle 3. Créer un tableau de réussite C’est une inspiration que j’ai eu avec la méthode Agile et que beaucoup de CP chef de projet ou de production utilisent pour gérer les avancement sur leurs projets. Je trouve que nos vies actuelles sont aussi chargées et intenses que certains projets de développement ! Choisissez votre support trouvez un espace sur un mur où vous pourrez laisser des messages pendant au moins 4 à 6 mois. Vous pouvez simplement mettre du liège ou un tableau blanc au dessus de votre bureau. Si vous êtes salariée, vous pouvez aussi le faire sur un Powerpoint, mettre le moodboard en fond d’écran ou garder le document sur votre bureau d’ordinateur. Ou alors, épinglez votre tableau de réussite à l’intérieur d’une porte de placard chez vous. Comme ça, vous le voyez en vous habillant tous les jours. Il reste cependant privé et confidentiel. Créez votre tableau de réussite prenez des posts-it et de beaux stylos. À chaque fin de semaine ou à la fin de chaque étape cruciale, fin de projet ou étape difficile, notez ce que vous avez accompli. Ça peut aussi se faire sous forme de dessins ou d’images. Cet exercice est le plus long avant de voir un vrai résultat. Mais vous pouvez le booster » en faisant le point sur vos six derniers mois et créer un ou deux papiers » par mois. © Photo Green Chameleon 4. Faire une boîte à compliments » Ma dernière astuce va vous demander de l’aide extérieure, mais seulement une fois par an. Demandez à dix personnes en qui vous avez confiance et qui seront bienveillantes, de vous donner quatre adjectifs positifs qui vous qualifierait le mieux. Idéalement, il faut le demander par email ou texto pour avoir une réponse écrite que l’on pourra relire en entier si la personne est aussi bavarde que moi dans ce genre de demande. Une fois que vous avez vos 40 adjectifs certains seront en doublons et tant mieux, listez-les tous sans les modifier dans une application que vous aurez toujours sur vous. J’adore Wunderlist pour ça. Si vous voulez ajouter de l’impact, vous pouvez mettre un chiffre ou des étoiles sur l’adjectif cité 3 ou 4 fois. C’est important de le faire sans jugement ni commentaire, malgré votre petit démon intérieur qui n’y croit pas ! Quand vous aurez besoin d’un coup de boost, de plus de confiance en vous, faites-vous une pause thé / café et en pleine conscience, lisez avec le cœur tous ces mots qui sont les vérités des autres, et qui s’appuient forcement sur une réalité ! © Photo Katie Treadway — Si malgré ces conseils, dans 4 mois, vous vous sentez toujours aussi nulle », j’y arriverai jamais »… c’est qu’il faut creuser plus loin. Et je suis là pour ça ! Olivia est coach et énergéticienne, exploratrice du soi-m’aime. Pour découvrir ses prestations, consultez son site Rise & Shine. Elle a aussi un blog Quand je serai grande. Sur Trendy Mood, elle publie toutes les semaines des conseils pour mieux vivre au quotidien. Retrouvez tous ses articles en cliquant ici !
c est dans le calme et la confiance